Une grande maison d’édition québécoise m’envoie sa lettre de refus, pour les Mailles sanguines. Cependant, elle y joint un commentaire d’un conseiller littéraire, qui me suggère de corriger, sans toutefois indiquer où, les maladresses et les « excroissances ». On me demande de revenir ensuite avec une deuxième version.
Je veux bien travailler ce texte, mais la lettre est vague. Encore une fois, on parle de récit bouleversant. Je prends une bonne respiration et regarderai d’un autre oeil ce texte. Je suis nerveux.